Réseaux sociaux: ces liens qui nous attachent, le nombre de Dunbar.
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Plus tard, quand les basics seront proprement ré-installés, je m’occuperai de revoir tous mes comptes adossés médias orientés partage : flickr, delicious, youtube, friendfeed... et le SEO de mes sites web BizNetFormations et Helene Zuili. Je sais que tout est lié, mais il est nécessaire de se concentrer et même si je suis rapide, je dois hiérarchiser les priorités.
J’ai écrit sur mon mur (de plastique) les mots « constance » et « qualité. » C’est cela que je vise dans un premier temps pour regagner mes galons... la quantité viendra de la qualité, c’est à dire de ma capacité à nouer du « vrai lien » et à entretenir la conversation ce qui fait sens.
L’anthropologue Robin Dunbar qui a étudié les réseaux sociaux, en a tiré la conclusion suivante, formulée en 92 : qui que l’on soit, la taille limitée de notre néocortex ne permettrait pas d’entretenir des relations amicales et durables avec plus de 150 personnes, soit 20 de plus que le nombre moyen d'amis pour les utilisateurs de Facebook. On appelle ce chiffre plafond le nombre de Dunbar, qui même s’il est souvent débattu, pose la question du lien entre sociabilité et capacités mentales.. (lire le Pocket Zeitgeist)
Et la sociabilité est une chose qui ne s’invente pas. On peut la forcer mais on n’impose pas une relation : la relation s’impose à nous, et très souvent à partir de choses simples : un sourire, un mot, un merci, une idée qu’on a fait surgir dans la tête de l’autre, une image...
On ne planifie pas une affection ou le lien qui nous unit.
Et quand il s'agit de réseaux sociaux, ces choses simples font leur chemin...
Lorsque que je donne un séminaire ou que j’interviens en coaching, je suis toujours frappée par les liens qui se tissent, au sein du groupe, entre le groupe et moi, ou encore entre une personne en particulier et moi. Il y a des alchimies qui ne s’inventent pas, qui ne peuvent pas se créer de manière artificielle.
En matière de réseau social, c’est en partie la même chose. Nos relations s’établissent sur les choses simples qui nous interpellent, une photo, un tableau, un mot, un commentaire sur le mur de l’autre, un twitt qui vous fait sourire.
S’intéresser à l’autre, de façon authentique, le montrer dans de petits détails, saluer, faire savoir que vous aimez d’un simple clic, c’est ainsi qu’un réseau social s’ancre dans le réel et se développe. Tout comme dans la vraie vie.
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