L'imagination est une seconde vie.
Tous les créateurs et les entrepreneurs vous le diront, il y a souvent plus de plaisir dans le rêve et la mobilisation de l'energie pour atteindre son rêve que dans la réalisation du rêve même.
Second Life est une incroyable plateforme parce qu'elle offre aujourd'hui à tous les créateurs et entrepreneurs la possibilité de s'exprimer librement, d'imaginer avec l'ensemble des médias existants, sans complexes et sans les moyens qui leur seraient demandés dans la vie réelle.
Et la création émerge aujourd'hui de partout, sous les formes les plus diverses. Et les créateurs rencontrent les entrepreneurs, et les chercheurs et les éducateurs s'emploient à essayer de nouveaux modèles d'enseignement, de collaborations, et peu à peu ce monde se développe dépassant ses propres limites grâce aux synergies qui se nouent dans la communauté, hors la communauté, au delà des langages et des cultures. Grâce aussi, au désir de ses créateurs de pousser le rêve aux limites de ce que peut offrir la technologie.
La collaboration entre Philip Rosedale, le visionnaire, et Mark Kingdon, le maitre d'oeuvre permettra-t-elle à Linden Lab d'aller loin, encore plus loin, là où même notre imagination n'ose s'aventurer ? Je le crois, ou en tous cas, pour un bout de chemin. Ce que nous avons pu voir aujourd'hui à la Solutions Providers Conference nous laisse entrevoir la seconde vie de Second Life.
Les professionnels des univers virtuels prévoit un développement accéléré dans les 3 prochaines années. Une nouvelle industrie se constitue progressivement avec des personnes et des sociétés issues de la convergence médias, informatique, web, telecom. Le pré-lancement prévu ces jours-ci, de Blue Mars 2150 par la société Avatar Reality en collaboration avec la National Geographic Society, laisse imaginer que la concurrence s'annonce rude. Linden Lab a bien compris que pour aller plus vite et rester leader, elle doit s'appuyer sur sa communauté d'entrepreneurs et de créateurs et diversifier ses propositions pour permettre à chacun de continuer à imaginer un monde où tout est possible. Où les rêves de chacun se rencontrent sans la distance géographique et sociale.
Pour nous autres, utilisateurs précoces des univers virtuels, les modifications sont profondes et tangibles. Le simple fait de passer 3 jours en séminaire collaboratif avec des gens du monde entier, parle pour lui-même. Que les prédicateurs d'une virtualité-inhumanité se rassurent. Il y en aura pour tout le monde...
Second Life est une incroyable plateforme parce qu'elle offre aujourd'hui à tous les créateurs et entrepreneurs la possibilité de s'exprimer librement, d'imaginer avec l'ensemble des médias existants, sans complexes et sans les moyens qui leur seraient demandés dans la vie réelle.
Et la création émerge aujourd'hui de partout, sous les formes les plus diverses. Et les créateurs rencontrent les entrepreneurs, et les chercheurs et les éducateurs s'emploient à essayer de nouveaux modèles d'enseignement, de collaborations, et peu à peu ce monde se développe dépassant ses propres limites grâce aux synergies qui se nouent dans la communauté, hors la communauté, au delà des langages et des cultures. Grâce aussi, au désir de ses créateurs de pousser le rêve aux limites de ce que peut offrir la technologie.
La collaboration entre Philip Rosedale, le visionnaire, et Mark Kingdon, le maitre d'oeuvre permettra-t-elle à Linden Lab d'aller loin, encore plus loin, là où même notre imagination n'ose s'aventurer ? Je le crois, ou en tous cas, pour un bout de chemin. Ce que nous avons pu voir aujourd'hui à la Solutions Providers Conference nous laisse entrevoir la seconde vie de Second Life.
Les professionnels des univers virtuels prévoit un développement accéléré dans les 3 prochaines années. Une nouvelle industrie se constitue progressivement avec des personnes et des sociétés issues de la convergence médias, informatique, web, telecom. Le pré-lancement prévu ces jours-ci, de Blue Mars 2150 par la société Avatar Reality en collaboration avec la National Geographic Society, laisse imaginer que la concurrence s'annonce rude. Linden Lab a bien compris que pour aller plus vite et rester leader, elle doit s'appuyer sur sa communauté d'entrepreneurs et de créateurs et diversifier ses propositions pour permettre à chacun de continuer à imaginer un monde où tout est possible. Où les rêves de chacun se rencontrent sans la distance géographique et sociale.
Pour nous autres, utilisateurs précoces des univers virtuels, les modifications sont profondes et tangibles. Le simple fait de passer 3 jours en séminaire collaboratif avec des gens du monde entier, parle pour lui-même. Que les prédicateurs d'une virtualité-inhumanité se rassurent. Il y en aura pour tout le monde...
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