E-reputation des entreprises : vers une politique medias sociaux
Il faisait froid ce jour-là... La neige tombait à gros flocons, et je terminais une présentation sur les nouveaux médias où mon principal interlocuteur ne cessait de ponctuer chacune de mes interventions par "hmmm une mode..." ou encore "pffff, ce n'est pas pour nous ce genre de choses...". Bon gré, malgré, j'arrivais péniblement à la fin de notre rendez-vous, saluait, et sortit de la célébre institution en me jurant de me tenir à distance de tout ce qui ressemble à un organisme lié directement ou indirectement à une administration.
C'était mon dernier rendez-vous de l'année et il me laissait l'amère sensation que le chemin était plus long qu'il m'arrivait de le penser. Intellectualiser la puissance d'internet et en percevoir les effets à grande échelle, n'est pas tout à fait le même chose. ...
J'achetais Le Monde à un vendeur de rue transi, et me jetais dans le métro, où mes yeux s'arrêtèrent sur un article qui titrait : "Les entreprises soignent leur e-réputation" et dont je vous livre ci-dessous les 2 paragraphes qui me semblent les plus pertinents.
La ligne de métro était longue, et mon coeur était au rire ;) J'en profitais donc pour "buzzer" et "twitter" à quelques centaine de personnes l'url de l'article, ainsi qu'à Monsieur P.... A bon entendeur......
C'était mon dernier rendez-vous de l'année et il me laissait l'amère sensation que le chemin était plus long qu'il m'arrivait de le penser. Intellectualiser la puissance d'internet et en percevoir les effets à grande échelle, n'est pas tout à fait le même chose. ...
J'achetais Le Monde à un vendeur de rue transi, et me jetais dans le métro, où mes yeux s'arrêtèrent sur un article qui titrait : "Les entreprises soignent leur e-réputation" et dont je vous livre ci-dessous les 2 paragraphes qui me semblent les plus pertinents.
"On est préparés à parer à tout accident avec les médias traditionnels, dit un directeur de la communication, qui souhaite rester anonyme. Mais, aujourd'hui, en cas de sinistre industriel, on réalise qu'avec Facebook ou Twitter, on ne saura pas faire. On risque d'être débordés."
Depuis le 19 décembre, des milliers de messages ont été postés sur les réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter pour critiquer l'entreprise Eurostar. Parfois en direct depuis un train en rade. Ou depuis les quais des gares, où amis et familles attendant un proche se sont relayés sur la Toile. Sur la page Facebook d'Eurostar, on pouvait ainsi lire, au milieu de quelques demandes d'informations sur l'état du trafic : "Pouvez-vous me faire parvenir le nom et l'adresse de votre cabinet d'avocats ?" ; "Je ferai de mon mieux pour qu'Eurostar souffre tellement de cette situation qu'elle soit conduite à la faillite."
La ligne de métro était longue, et mon coeur était au rire ;) J'en profitais donc pour "buzzer" et "twitter" à quelques centaine de personnes l'url de l'article, ainsi qu'à Monsieur P.... A bon entendeur......
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